Pourquoi es-tu coopérateur?
L’impact environnemental et social de ce que je consomme est bien sûr au centre de la démarche, mais il y a d’autres motivations. Etre coopérateur, ce n’est pas la même chose qu’être client d’un magasin. Cela suppose une implication personnelle plus grande, ne fut-ce qu’à travers l’achat d’une part de la coopérative. Aller chez Bloum, c’est pour moi aussi une façon de se réapproprier mon quartier, de l’habiter et de le faire vivre. J’aime beaucoup l’idée d’ancrage local.
Qu’est-ce qui te fait bloumer?
Tout le chemin parcouru par Bloum : les premières ventes de produits secs dans un garage de la Chaussée de Bruxelles, l’occupation temporaire d’un local à la rue des Alliés où les commandes de produits frais se faisaient en ligne et la coopérative telle qu’on la connait aujourd’hui avec ses sympathiques épiciers.
Quel est ton produit préféré?
Il y a les légumes du nos maraîchers adorés bien entendu, mais il y a aussi les chips au sel Go Pure. A chaque fois, c’est la même histoire : je traine dans le rayon, je leur fait de l’œil et je finis toujours par craquer. Ce produit n’est pas zéro déchet, certainement pas le plus local de l’offre Bloum, pas le plus équilibré non plus. C’est juste mon péché mignon !